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.Centre de recherche bretonne et celtique (Université de Bretagne occidentale à Brest) & Champion – Slatkine, Paris-Genève, 1987,3 volumes reliés.Alfred Holder, Altceltischer Sprachschatz, Leipzig, 1896-1917 (rééd.Akademischer Verlagsanstalt, Graz, 1962), 3 volumes,[ouvrage vieilli, indispensable parce qu’il n’a pas été remplacé, mais à manier avec précaution à cause des nombreuses erreurs qu’il contient].Joseph Loth, Les Mabinogion, 2 volumes, 2e édition, éd.Fontemoing, Paris, 1913.[seule traduction française valable de ce texte capital)Jean Marx, Les littératures celtiques, Que Sais-Je ? PUF, Paris, 1967.Pierre-Yves Lambert, Les littératures celtiques, Que Sais-Je ? PUF, Paris 1981.[on lira avec un égal profit ces deux ouvrages auxquels les spécialisations particulières aux auteurs donnent, sous le même titre, des aspects très différents].Jean Marx, La légende arthurienne et le Graal, PUF, Paris, 1952.Holger Pedersen, Vergleichende Grammatik der keltischen Sprachen, 2 volumes, Göttingen, 1909 et 1913.[ouvrage très vieilli mais non remplacé.Une édition abrégée a paru en 1937 en langue anglaise : Henry Lewis & Holger Pedersen, A Concise Comparative Celtic Grammar].Rudolf Thurneysen, Die irische Helden-und Königsage bis zum siebzehnten Jahrhundert, Halle, 1921.[ouvrage vieilli mais encore indispensable par sa documentation].Patrimoine littéraire européen, tome 3, Racines celtiques et germaniques, éd.De Bœck Université, Bruxelles, 1992, 798 pages.* * *[1] Le présent ouvrage, qui ne s’adresse pas aux spécialistes, ne comporte aucune note infrapaginale ni aucune référence explicite, sauf exception justifiée.Nous renvoyons le lecteur à la bibliographie et à nos autres travaux auxquels le présent ouvrage sert en quelque sorte d’introduction naturelle et dont nous indiquons ci-après les principaux :Les Druides, 5e édition, Ouest-France, Rennes 1987, 448 pages.Textes mythologiques irlandais 1/1-2, Celticum 11, Rennes, 1980-1988, 344 et 280 pages, in-quarto.Prêtres et dieux des Celtes : le vocabulaire sacerdotal du celtique de l’antiquité et du haut-moyen-âge, Celticum 30, Rennes, 1988, 400 pages in-quarto.[2]Est celtomane à nos yeux quiconque s’occupe des celtes et, surtout, des langues celtiques, sans les connaître et suivant des méthodes inadéquates.La celtomanie du XIXe siècle, qui perdure encore dans certains milieux « druidiques » est un lointain héritage de la Renaissance, quand l’érudition européenne étudiait les langues en dehors de toute base philologique et linguistique, uniquement en fonction de rapprochements analogiques fondés sur le latin, le grec, et l’hébreu qui étaient les langues savantes de l’époque.La philologie celtique moderne a bien entendu suivi le grand développement qui a eu pour point de départ la découverte du sanskrit à la fin du XVIIIe siècle.Mais beaucoup d’érudits locaux n’ont pas suivi, faute de comprendre que les temps avaient changé.La finalité celtomane est ainsi toujours restée de vouloir prouver la parenté des langues celtiques modernes, non distinguées de leurs états anciens et médiévaux, et du grec, du latin ou de l’hébreu, à seule fin de montrer que le breton ou, éventuellement le gallois, sont des langues « mères » de l’humanité.Ces théories surannées, si elles tendent à disparaître, pour cause de ridicule dans le cas des langues, demeurent encore vivaces dans le cas des druides et ont parfois des prolongements universitaires ou culturels dus à l’ignorance ou au refus systématique de certaines sources d’information [ Pobierz całość w formacie PDF ]

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